Il s’en est allé.
Juste après le jour de Pâques.
Rejoindre son maître et Seigneur.
Au revoir, pape François.
Merci pour tout ce que tu as apporté
même si, aux yeux de certains,
ce n’était pas suffisant.

On mesurera plus tard
combien toi, l’homme d’un autre siècle,
pétri parfois de principes anciens,
tu as tourné les chrétiens vers l’avenir.

Combien de changements
culturels, politiques, sociétaux
en ces dernières années.
Combien de défis technnologiques
et éthiques.
Combien d’enjeux spirituels,
notamment celui
de la fidélité
à l’Esprit de ce Jésus
qui a pris les chemins d’humanité
pour visiter les périphéries
de nos sociétés,
ces lieux où l’on relègue
les laissés pour compte,
les pas intéressants,
les pas profitables,
les pas puissants,
les manipulables à souhait,
la chair à canon économique
la chair à mafia,
la chair à tous les conflits guerriers…

Au revoir pape François,
homme de transition,
homme de passage,
homme d’avenir.

Que la traversée
te soit belle
et féconde.

Z- 21/04/2025

La foi provoque chez les jeunes des sentiments d’aventure qui invitent à passer par des paysages incroyables, pas du tout faciles, pas du tout tranquilles… Mais vous aimez les aventures et les défis.

Le problème, c’est nous les grands qui, très souvent, avec une tête de je-sais-tout, disons : “Il pense comme ça parce qu’il est jeune, il va bientôt mûrir.”

Il semblerait que mûrir, ce soit accepter l’injustice, croire que nous ne pouvons rien faire, que tout a toujours été comme ça…

Pape François, aux jeunes du Chili, 17 janvier 2018)
(cité par La Croix du 19 janvier 2018)

C’est ça.
Jésus mort à 33 ans. Environ.
(et ressuscité)
Eternellement jeune, quoi !

Alors, écoutons, cet appel, ce chant, sans cesse renouvelé, de la jeunesse.
A chaque génération.
Chant du renouveau, chant de la promesse, chant de l’avenir.

A chaque fois nouveau, et pourtant le même.

Le chant de la folie de l’amour,
le chant de l’idéal du bonheur
le chant de la révolte contre l’injustice
le chant de la danse ininterrompue
le chant de la paix et de la joie réunies
le chant de la folie nouvelle
le chant de l’amour.

Sans cesse renouvelé.

Loin, si loin des conservatismes
du repli sur soi
de la peur du renouveau
qui existent aussi
et qui sont des caricatures
de la jeunesse.

Jésus est éternellement jeune
tourné vers l’avenir,
l’abolition de toute servitude,
tout esclavage,
toute discrimination,
tout jugement fondé sur la différence.

Jésus, est l’avenir en puissance,
en révélation,
en accomplissement de ses potentialités de vie.

Jésus, sauveur de la mort,
révélateur – réveilleur de la vie,
fi des conservatismes,
fi de l’endormissement,
fi de l’horrible conformisme.

Guérison un jour de sabbat
main atrophiée qui reprend sa forme naturelle,
épis froissées et mangés un jour de jeûne,
repas pris avec Zachée le publicain,
grondement contre les marchands du Temple,
folie, folie, folie,
de l’amour de Dieu.
Eternelle jeunesse,
Dieu en nos vies.
Jésus sur nos chemins.
Jésus
Aujourd’hui.

Z- 20 janvier 2018

justin-praying

“Seigneur, envoie Ton Esprit-Saint en abondance
sur les familles dont un membre ou un ami
découvre son orientation homosexuelle.

Qu’Il habite de Sa paix et de Sa douceur
les liens familiaux et amicaux
souvent éprouvés dans cette situation,
et apprenne à chacun à aimer comme Tu aimes.

Conduis les personnes et proches concernés selon Ta volonté,
sur Ton chemin où vérité et charité ne font qu’un.
Que jamais ils ne se croient jugés ou rejetés de Toi et de l’Eglise,
mais qu’ils y soient accueillis comme tous Tes enfants
avec beaucoup d’amour et de miséricorde,
quelles que soient les difficultés de leur vie.

Vierge Marie,
qui aimes le coeur des doux,
soutiens Tes enfants,
protège-les, console-les,
donne leur Ta paix,
et amène-les à Jésus.”

pape François

Source : hozana.org

corriger son frere

 

Tu aimes corriger les autres ? Ca ne vient pas de Dieu !

La vraie correction fraternelle est belle et douloureuse à la fois a expliqué le pape François dans son homélie matinale du 12 septembre 2014, mais doit toujours s’exercer avec amour , en vérité et avec humilité.

Si nous ressentons un plaisir à corriger notre prochain, alors cela ne vient pas de Dieu. Voilà en gros le sens de  l’homélie du pape après proclamation de l’Evangile du jour  dans lequel Jésus met en garde ceux qui voient la paille dans l’oeil de leur frère et ne se rendent pas compte de la poutre qui se trouve dans leur propre oeil.

 

source : www.aleteia.org