Justin-Bieber-and-Zayn

Ooooooooooooooooh
Vivre sans tendresse, non, non, non, non,non,
il n’en est pas question.
Et même l’amour,
sans la tendresse, il ne serait rien…

Tant de temps, sans tendresse,
tant de temps, je ne m’en rendais pas compte.
Et pourtant, il n’en est pas question, non,non,non,non
ce besoin de tendresse, qui nous vient en naissant…………
Ooooooooooooooooh
j’ai besoin de ça.

———-
Comment choisir entre l’émouvant Bourvil, et la douce Marie Laforêt?
Maurane, l’austère et sensible qui chante la tendresse…
N’est-ce pas celle qui me dira le plus?
Non, non, non, voici Luc Arbogast, le magicien.
Quand il chante, ce cher Luc, il me fait une promesse
celle que la tendresse
viendra à moi.
Et je l’écoute.
———–

La tendresse (Noël Roux/Hubert Giraud)

On peut vivre sans richesse
Presque sans le sou
Des seigneurs et des princesses
Y’en a plus beaucoup
Mais vivre sans tendresse
On ne le pourrait pas
Non, non, non, non
On ne le pourrait pas

On peut vivre sans la gloire
Qui ne prouve rien
Etre inconnu dans l’histoire
Et s’en trouver bien
Mais vivre sans tendresse
Il n’en est pas question
Non, non, non, non
Il n’en est pas question

Quelle douce faiblesse
Quel joli sentiment
Ce besoin de tendresse
Qui nous vient en naissant
Vraiment, vraiment, vraiment

Le travail est nécessaire
Mais s’il faut rester
Des semaines sans rien faire
Eh bien… on s’y fait
Mais vivre sans tendresse
Le temps vous paraît long
Long, long, long, long
Le temps vous parait long

Dans le feu de la jeunesse
Naissent les plaisirs
Et l’amour fait des prouesses
Pour nous éblouir
Oui mais sans la tendresse
L’amour ne serait rien
Non, non, non, non
L’amour ne serait rien

Quand la vie impitoyable
Vous tombe dessus
On n’est plus qu’un pauvre diable
Broyé et déçu
Alors sans la tendresse
D’un coeur qui nous soutient
Non, non, non, non
On n’irait pas plus loin

Un enfant vous embrasse
Parce qu’on le rend heureux
Tous nos chagrins s’effacent
On a les larmes aux yeux
Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu…
Dans votre immense sagesse
Immense ferveur
Faites donc pleuvoir sans cesse
Au fond de nos coeurs
Des torrents de tendresse
Pour que règne l’amour
Règne l’amour
Jusqu’à la fin des jours

131205-Bieber-Guatemala

“Tu seras aimé
quand tu pourras montrer ta faiblesse
sans que tu n’aies peur que l’autre
s’en serve pour affirmer sa force.”

Cesare Pavese

C’est une belle citation, sûrement intéressante pour toute personne qui a besoin de s’éveiller, s’ouvrir, se découvrir. Probablement est-elle vraie pour les relations parents-enfants, pour toute démarche ressemblant à un coming out.

Mais elle est insuffisante. Parce que l’amour n’a en fait pas à voir avec un rapport de force ou de non rapport de force. Je dirais plutôt :

Je saurai que tu m’aimes le jour où je pourrai paraître devant toi sans que rien de moi ne t’effraie ni te repousse, et que ton regard bienveillant m’accueille et me fasse encore grandir. Je me saurai aimé quand je m’apercevrai que tout ce qui m’effraie n’est rien pour toi tellement tu m’as précédé dans l’acceptation inconditionnelle de qui je suis.

Et puis… Parce que l’amour est échange et relation : je saurai aimer quand ayant reconnu cet amour inconditionnel sur moi, pour moi, en moi, je saurai t’accueillir avec le même amour inconditionnel sans aucun désir particulier ni possessivité. Inconditionnel et désintéressé. Totalement libre et disponible.

 

Z – 7 juin 2016

bieber-voir-loin

 

Les Thérapeutes, comme le reste des humains recherchent le bonheur ; ils savent qu’aucun bonheur durable ne peut être fondé sur l’illusion. La vérité est la condition même de la vraie joie, aussi faut-il avant tout “chercher à voir clair”; cela suppose un “retrait des projections” qui nous empêchent de voir ce qui est. Un élément important de la thérapie des Anciens est l’epochè, la “mise entre parenthèses” ; regarder quelque chose, quelqu’un, un évènement et “mettre entre parenthèses” c’est-à-dire “suspendre” son jugement, ne plus projeter sur “cela” telles craintes, tels désirs, tous ces “paquets de mémoires” dont est chargé le moindre de nos regards.

Voir clair, dans un premier sens, c’est voir ce qui est; ce qui est et rien d’autre. L’epochè concerne autant l’émotion que le jugement et la pensée; elle suppose une grande liberté à l’égard de nos réactions, mais ces attitudes “réactives” que nous prenons souvent pour des actions justement, on ne les maîtrise pas. Avant de seulement imaginer que cela soit possible, il s’agit d’abord de prendre conscience. L’epochè constitue un moment important pour sortir de son “propre point de vue” et de ses conditionnements; voir les choses à partir d’elles-mêmes, dans leur “autreté” irréductible à nos perceptions fragmentaires, est le commencement de la claire vision.

“Apprendre à voir clair”, dans un deuxième sens, c’est développer en soi une vision “éclairante”, celle qui vient de l’oeil du coeur. Il est des regards qui vous rétrécissent, vous chosifient; il en est d’autres qui vous rafraîchissent, vous éclairent… de des regards vous ressortez plus purs, plus fiers et comme agrandis.

Notre vie ne vaut souvent que par le regard sous lequel on se place. Le regard du Thérapeute est non seulement clair dans le sens de “lucide”, d'”objectif”, autant que cela est possible à un sujet, il est également clair dans le sens d’éclairant; on se voit mieux, on se découvre davantage devant un tel regard, non dans une nudité coupable ou honteuse,mais dans notre nudité essentielle d'”être aimé de l’Être”.

Devant un tel regard on ne se sent pas toisé, jugé, mesuré, mais “accepté”, cette acceptation étant la condition nécessaire pour que commence un chemin de guérison; mieux, devant un tel regard on se sent “aimé”, mais aimé de façon non possessive ou intéressée, “aimé pour soi sans qu’on y soit pour rien”… étrangement aimé.

 

Jean-Yves Leloup,
Prendre soin de l’être – Philon et les Thérapeutes d’Alexandrie,
Albin Michel, 1993.

bieber-octroi-de-l-etre

Être soi, cela ne va pas de soi. Pour être soi, il faut que l’altérité de l’être m’accorde ma part. Et chacun, en tant qu’être humain, a sa “part d’être” à prendre. Il se trouve que l’ami peut m’aider à prendre ma part. Il peut me montrer que j’ai à être. Tous ceux qui sont de vrais amis savent cela.

Hölderlin dit que ce qui nous est propre est ce que nous apprenons le plus difficilement – alors même que cela nous est propre. Pour entrer dans un libre rapport avec ce qui nous est propre, poursuit Hölderlin, il faut passer par l’étranger. En l’occurrence, il parle des peuples, mais cela est tout aussi vrai pour chacun de nous. (…) Au départ, nous sommes toujours crispés avec ce qui nous est propre. Ce détour par l’étranger pour “s’être soi-même” ou “être à soi” correspond à la structure même de la finitude humaine. Alors que l’ego est en pleine possession de lui-même, je ne suis pas pas en possession de mon propre être. Mon être doit m’être octroyé. C’est une situation étrange, au sens littéral. C’est donc un autre qui va me faire don de ce qui m’est le plus propre? Oui ! “L’amitié (philia) est la bienfaisante faveur qui dispense à l’autre son aître” dit Heidegger dans le cours sur Héraclite – son aître : ce qui lui est le plus propre.

(..) Dans le cours sur Héraclite, Heidegger poursuit :

“L’amitié (philia) est la bienfaisante faveur qui dispense à l’autre son aître, cet aître qu’il a de telle manière que c’est grâce à cette amitié que l’aître qui en reçoit la faveur vient à fleurir en sa propre liberté.”

J’ai donc bien mon être, mais je ne l’ai pas au sens d’une possibilité véritable, c’est-à-dire avec tout le rayonnement libre que cela implique. L’ami est celui qui m’octroie cela. Le plus extraordinaire tient au fait que l’ami m’octroie quelque chose dont il n’a pas lui-même la possession. Il n’a pas notre être dans sa poche, comme s’il pouvait nous dire un beau matin “tiens, au fait”, il faut que je te donne ton être!” Non : il donne quelque chose qu’il n’a pas. Mais c’est par lui et grâce à lui que je vais y prendre part – prendre part à cela qui m’est propre.

Ainsi est structurée la finitude humaine : ce qui m’est le plus propre, je n’en ai pas la possession. C’est pourquoi Aristote écrit (Ethique à Nicomaque, VIII,2) :

“A un ami, en revanche, on dit qu’il faut souhaiter tout ce qui est bon pour être celui qu’il est en propre.”

Il le faut. Sans quoi l’ami ne reçoit pas ce qui lui est propre. Ce “falloir” est un signe de manque (en ancien français, “il faut” voulait dire “il manque”). Ce qui manque, c’est le rapport libre à ce que vous avez en propre? Vous l’avez sans l’avoir, ou, mieux, vous l’avez sans l’être pleinement. Votre part d’être vous est adressée, mais pour qu’elle soit pleinement votre partage, il faut que vous la preniez cette part – alors même que c’est la vôtre. Et l’ami, au sens le plus élevé, est celui qui vous aide à la prendre, et vous la donne en vous la montrant, car une fois encore, il n’en est pas lui-même le détenteur. Cela ne dépend plus ni d’un toi ni d’un moi – cela dépend de : être.

(…) C’est cela que veut dire Dasein chez Heidegger. Être le là : je ne vise pas, je ne me concentre pas – j’ouvre toute ma possibilité d’être pour que (cela) vienne à être et ainsi m’ad-vienne.

(…) Dans le rapport avec l’ami, vous êtes le là de ce que vous avez à être, parce que l’ami vous octroie votre ouverture à être. Sans en avoir lui-même possession, il vous l’octroie en ceci qu’il vous la montre. Telle est la finitude humaine : c’est le fait que les choses doivent nous être montrées. Et la première monstration dans laquelle j’existe, c’est la langue. elle me porte dans l’être. Ce n’est pas moi qui utilise, comme on dit la langue, mais bien plutôt elle qui me porte et me montre. Tant que nous pensons que nous nous servons de la parole, nous ne parlons pas véritablement. Tant que nous pensons que nous avons choisi notre ami, ce n’est d’une certaine manière pas encore un ami au sens le plus plein.

Hadrien France-Lanord,
S’ouvrir en l’amitié, Editions du Grand Est, 2010, p. 55-58.

Voilà le plus beau texte que j’ai pu trouver pour rendre compte de ce qu’il semble arriver: le fait d’advenir à être par et grâce à l’ami qui n’a rien demandé du tout et qui, sans l’avoir lui-même, donne la part d’être qui est la vôtre. Sorte de réveil, de sursaut, d’appel. Y a-t-il réciprocité possible ? L’auteur répond de manière sybilline (p.56) :

Réciprocité ne veut pas nécessairement dire simultanéité, au sens où cela ne se fait pas nécessairement dans le même temps chronologique – même si cela se fait dans la même maturation de temps.

Ce n’est pas la réponse que j’aurais aimé entendre. La simultanéité offrait la possibilité d’une grande explosion de bonheur et de joie partagés. Faut-il se résoudre à être éveillé à soi-même, saisi d’amour par et pour celui qui provoque cela et devoir passer son chemin ? Possible. Ou tout simplement se défaire de l’amour-fascination qui est encore projection de soi sur l’autre et non pas invitation à son éveil à être. Simultanéité ou pas, en soi, ça n’a pas d’importance. Si cela en a, c’est que le mouvement n’est pas encore libre.

Bieber-as-long-as-you-love-me

Une des plus belles chansons d’amour que je connaisse…

Tant que tu m’aimes
que peut-il m’arriver ?

Et si cela devait s’arrêter, que deviendrais-je?

Quelle étrange impression
de savoir intimement
que nous sommes faits pour un amour éternel
et expérimenter en même temps
qu’il n’est pas dans les limites humaines.

Tout amour,
s’il est beau et libre,
s’il affranchit et fait grandir,
vient d’ailleurs
et y retourne.

Surtout
ne pas se l’accaparer,
seul moyen de le faire perdurer
et d’en jouir dans la paix
et la confiance.

Beauté que l’amour !

Beauté que ce coeur qui chante
la beauté qui l’a touché.

Z- 9/6/2016

 

Justin Bieber : As long as you love me


Tant que tu m’aimes
Tant que tu m’aimes
Tant que tu m’aimes

Nous sommes sous pression
Sept milliards de personnes
dans le monde essayent
de s’intégrer
Garde le cap
Un sourire sur ton visage,
même si ton coeur est maussade
Mais bon maintenant,
tu sais chérie,
Nous savons tous les deux
que c’est un monde cruel

Mais je vais prendre mes chances
Tant que tu m’aimes
Nous pourrions mourir de faim
Nous pourrions être sans-abri
Nous pourrions être fauchés
Tant que tu m’aimes
Je serai ta platine
Je serai ton argent
Je serai ton or

Tant que tu m’ai-ai-ai-ai-ai-ai-aimes
Tant que tu m’ai-ai-ai-ai-ai-ai-aimes

Je serai ton soldat,
Combattant chaque seconde de la journée pour tes rêves,
Je serai ton sauveur*
Tu peux être ma Destiny’s Child** sur la scène, chérie

Donc ne stresse pas (ne stresse pas),
et ne pleure pas (ne pleure pas)
Oh nous n’avons pas besoin d’ailes
pour voler

Prends juste Ma main
Tant que tu m’aimes
Nous pourrions mourir de faim
Nous pourrions être sans-abri
Nous pourrions être fauchés

Tant que tu m’aimes
Je serai ton platine
Je serai ton argent
Je serai ton or

Tant que tu m’ai-ai-ai-ai-ai-ai-aimes
Tant que tu m’ai-ai-ai-ai-ai-ai-aimes

Je ne sais pas si ça a du sens mais
Tu es mon hallelujah
Donne-moi une heure et un lieu,
je te donnerai un rendez-vous
Je vais voler jusqu’à toi,
je t’y rencontrerai
Tu sais que je t’es à moi
Nous, la confiance,
Des choses que je ne peux épeler sans toi

Maintenant nous sommes au sommet du monde
Parce que c’est juste comme ça…
(comme ça…)
Tu disais
“le ciel est la limite”
Et maintenant le ciel
est notre point de vue
(notre vue!)
Maintenant nous sortons comme… Woah !
(oh mon Dieu !)
Les caméras sont pointées vers toi,
demande-moi quel est le meilleur profil
Je reculerai et pointerai vers toi, toi, toi
Toi, toi avec avec qui je me dispute
Je me sens comme si j’avais besoin
d’une nouvelle fille avec qui me prendre la tête
Mais l’herbe n’est pas toujours plus verte ailleurs
Elle est verte là où tu l’arroses
Donc je sais, nous avons des problèmes bébé,
c’est vrai, c’est vrai, c’est vrai
Mais je préfère travailler sur ça avec toi
Que d’avancer et de commencer avec quelqu’un d’autre

Tant que tu m’aimes
Nous pourrions mourir de faim
Nous pourrions être sans-abri
Nous pourrions être fauchés
Tant que tu m’aimes
Je serai ton platine
Je serai ton argent
Je serai ton or

Tant que tu m’ai,ai,ai,ai,ai,ai,aimes
Tant que tu m’ai,ai,ai,ai,ai,ai,aimes
Tant que tu m’ai,ai,ai,ai,ai,ai,aimes
Tant que tu m’ai,ai,ai,ai,ai,ai,aimes
Tant que tu m’ai,ai,ai,ai,ai,ai,aimes

Tant que tu m’ai,ai,ai,ai,ai,ai,aimes
(C’est tout ce que je veux)
Tant que tu m’ai,ai,ai,ai,ai,ai,aimes
(Ne t’en va pas)
Tant que tu m’ai,ai,ai,ai,ai,ai,aimes

 

As long as you love me
As long as you love me
As long as you love me

We’re under pressure,
Seven billion people
in the world
trying to fit in
Keep it together,
Smile on your face even though
your heart is frowning (frowning)
But hey now (hey now),
you know, girl (know girl),
We both know it’s a cruel world

But I will take my chances
As long as you love me
We could be starving, we could be homeless,
we could be broke
As long as you love me
I’ll be your platinum,
I’ll be your silver,
I’ll be your gold

As long as you lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-love me (love me)
As long as you lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-love me (love me)

I’ll be your soldier,
Fighting every second of the day for your dreams, girl
I’ll be your Hova*
You could be my Destiny’s Child** on the scene girl
So don’t stress (don’t stress), don’t cry (don’t cry), we
don’t need no wings to fly

Just take my hand
As long as you love me
We could be starving, we could be homeless, we could be
broke

As long as you love me
I’ll be your platinum, I’ll be your silver, I’ll be your
gold

As long as you lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-love me (love me)
As long as you lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-love me (love me)

Yo, B-I-G
I don’t know if this makes sense, but you’re my hallelujah
Give me a time and place, and I’ll rendezvous it, I’ll fly
you to it,
I’ll beat you there
Girl you know I got you
Us, trust…
A couple of things I can’t spell without ‘U’

Now we are on top of the world,
’cause that’s just how we do
(do it)
Used to tell me,
“Sky’s the limit”,
now the sky’s our point of view
(view)
Man now we stepping out like,
“Whoa” (Oh God)
Cameras point at you,
Ask me what’s best side
I stand back and point at you
You, you the one that I argue with, I feel like I need a new
girl to be bothered with,
But the grass ain’t always greener on the other side,
It’s green where you water it
So I know we got issues baby true, true, true,
But I’d rather work on this with you
Than to go ahead and start with someone new

As long as you love me
As long as you love me (love me yeah yeah yeah)
We could be starving, we could be homeless, we could be
broke
As long as you love me
I’ll be your platinum (platinum), I’ll be your silver, I’ll
be your gold
As long as you
lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-love me
As long as you
lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-love me
As long as you
lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-love me (I’ll
be your silver, I’ll be your gold)
As long as you lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-lo-love
As long as you love, love, love, love me
As long as you love me (that’s all I want baby)
As long as you love, love, love, love me
As long as you love, love, love, love me (please don’t go)
As long as you love me
As long as you love me

*Hova: contraction de Jéhovah – Dieu – Justin Bieber fait allusion au parcours de Jay-Z & Beyoncé (“Destiny ‘s Child sur la scène”) Hova est le surnom que Jay-Z s’était donné et qui est un dérivé de Jehovah, Jay-Z est surnommé le ‘dieu’ et ‘sauveur’ du rap.
** ancien groupe de Beyoncé, petie-amie de Jay-Z

Source paroles et traduction : www.paroles-musique.com et www.lacoccinelle.net