Je n’en veux à personne
Mais, Dieu, que j’en ai bavé
Je n’en veux à personne
Mais comme cela a duré
Je n’étais que souffrance
Et je ne le savais pas
Je n’étais que souffrance
Cela ne se voyait pas
Tout semblait si futile
A mesure que j’avançais
Tout semblait si futile
Mon édifice s’écroulait
Dans le temps immobile
En moi des choses bougeaient
Dans le temps immobile
Enfin je me retrouvais
Et voilà que tu resurgis
Dieu de mon enfance
(Voilà que)
Tu me ramènes à la vie
Dieu de mon enfance
Il fallait tant de temps
Pour mener tous ces combats
Il fallait tant de temps
Pour que j’assure mon pas
Tu surgis de mon enfance
Toi qui m’as donné la vie
Tu me redonnes confiance
Tu es le Seigneur de la Vie.
Z- 15/10/2016
Source photo : Ronny Garcia Photography